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 wxcvbnqsdfghjklm

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hopeless wanderer.
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MessageSujet: wxcvbnqsdfghjklm   wxcvbnqsdfghjklm EmptySam 19 Oct - 21:44

Prénom P. Nom
Un bla  ϟ Deux bla  ϟ Trois bal  ϟ Et quatre

Papuche.
I was lost in the lakes and the shapes that your body makes that your body makes that your body makes, that your body makes. And the mountains said I will find you here they whispered the snow and the leaves in my ear. I traced my finger along your trails and your body was the map, I was lost in it, floating over your rocky spine, the glaciers made you and now you're mine, floating over your rocky spine. The glaciers made you and now you're mine. I was moving across your frozen veneer the sky was dark but you were clear, could you feel my footsteps? And would you shatter, would you shatter? Would you? With your soft fingers between my claws like purity against resolve i could tell then there we were formed from the clay and came from the rocks for the earth to display they told me to be careful up there. Where the wind rose up there, in this rage through your hair they told me to be careful up there, where the wind rages through your hair
Banana.
Barre-toi ! Casse toi j't'ai dit, qu'est-ce qu'il te faut de plus, t'en as pas vu assez ?! Et arrête de m'regarder comme ça, t'as rien écouté, t'as rien compris ? Comment j'dois t'le dire pour que ça imprime ? Écoute pauvre conne, j'suis pas quelqu'un de bien, j'suis pas une belle personne. J'suis une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée et j'vais finir par te sauter au visage si tu t'approches trop comme ça, t'es avec les autres. Mais tu sais pas de quoi tu parles, j'ai essayé ça sert à rien. On change pas, on change jamais. Et quand bien même de toute façon ici y a pas de deuxième chance, on efface pas les ardoises. Me dis pas que t'es pas au courant ? T'as pas vu, c'est imprimé partout ; dans les journaux, sur les écrans, dans le regard des gens. C'est même écrit en grand sur les immeubles, la nuit, quand les gens bien comme toi sont endormis. C'est marqué en rouge ; Tu nais comme ça, tu vis comme ça, tu canes comme ça. Seul à poil face à ton reflet, avec ton dégoût de toi-même, ta culpabilité et ton désespoir comme seul témoin. Non crois-moi, tu veux vraiment pas que j'aille plus loin parce-qu'au mieux ça t'empêchera de dormir et au pire ça te donnera en vie de me cracher à la gueule. Alors avant que j'me transforme encore une fois, pars en courant. Fuis-moi comme le choléra. Non j'ai braqué personne, planqué personne, butté personne. Mais j'suis un voyou c'est comme ça qu'on dit tout simplement. J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment, suffisamment pour y penser tout le temps. J'pourrais te donner un million de bonnes raisons pour qu'on m'attrape, qu'on m'casse les genoux et qu'on me cloue au pilori. Et si un jour on vient me chercher j'résisterai pas, j'sortirai les mains sur la tête sans faire d'ennuis. Mais avant que ça arrive j'voudrais que tu saches que j'ai compris que j'passe mes nuits entre cacheton et insomnie. Et que j'vais me battre pour reconstruire un apprenti et repenti et tant pis si ça m'prend toute une vie. Pardon ? Que j'parle un peu moins fort ? Ah on vous dérange en fait, merde. Et bah si on te dérange tu te casses ou sinon tu fermes ta gueule tu regardes ton assiette et tu nous fous la paix 5 minutes le temps que j'termine. Tu peux faire ça ? Qu'est-ce qu'il y a ? Ça te gêne qu'on te coince comme ça devant tout le monde ? Bah ouais c'est chiant j'comprends mon gars, mais dis-toi que t'as de la chance toi, toi t'es né bien comme il faut, t'es solide, t'es cohérent, tu mets personne mal à l'aise dans les restaurants. Tu dors bien sur tes deux oreilles, t'es un bon petit français, t'es beau, t'es bien. T'es comme un magazine de déco, comme une maison d'témoin. Ça t'arrive pas ces choses-là, hein ? Tu vois absolument pas de quoi j'parle. Eh bah ouvre pas trop la porte de ton placard alors, tu pourrais être surpris. Ça va te faire tout drôle le soir où les choses que tu pensais avoir enfouies.. Faut savoir qu'en fait, elles étaient là juste là planquées sous le tapis. Elles sortent une main puis te plantent une seringue dans le pied avant de disparaître. Et alors là, ça te prend à la gorge, comme des odeurs d’ammoniaques. Ça te colle des sueurs froides, t'as les dents qui claquent. Mais non j'me calme pas ! J'me calme pas, il sait pas ce que c'est lui, il sait pas ce que c'est qu'd'être un crevard, d'être mal foutu, d'être une crasse, un pantin. D'être le terrain où le bien et le mal s'affrontent.
Non j'ai braqué personne, planqué personne, butté personne. Mais j'suis un voyou c'est comme ça qu'on dit tout simplement. J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment, suffisamment pour y penser tout le temps. J'pourrais te donner un million de bonnes raisons pour qu'on m'attrape, qu'on m'casse les genoux et qu'on me cloue au pilori. Et si un jour on vient me chercher j'résisterai pas, j'sortirai les mains sur la tête sans faire d'ennuis. Mais avant que ça arrive j'voudrais que tu saches que j'ai compris que j'passe mes nuits entre cacheton et insomnie. Et que j'vais me battre pour reconstruire un apprenti et repenti et tant pis si ça m'prend toute une vie. Comment tu peux penser que tu tiens à moi si moi-même j'y tiens pas ? Pourquoi tu dis que tu m'aimes alors que moi-même j'me déteste ? Pourquoi t'es là, pourquoi tu restes ? Comment est-ce que tu peux penser que tu tiens à moi si moi-même j'y tiens pas ? Pourquoi tu dis que tu m'aimes alors que moi-même j'me déteste ? Pourquoi t'es là, pourquoi tu restes ?
Non pas ce soir, pas ce soir laisse-moi s'il te plait. Non j'veux pas y aller, j'veux pas rentrer, j'veux pas dormir. Et surtout, non, j'veux pas parler. Ce soir j'veux juste hurler, j'ai besoin d'ouvrir les vannes, tu comprends ? De tout lâcher comme un puceau qui ment, de hurler mes mots pesants avec ma voix d'adolescent qui a jamais mué. De hurler ma peur d'abandon, ma recherche phonétique d'attention, mon besoin de reconnaissance en permanence comme un chien, des caresses. Mes tentatives désespérées d'me faire passer pour un mec que j'suis pas, et que j'serai probablement jamais ! De hurler mon absence de courage, ma cruauté, ma politesse maladive, mon optimisme débile, mon zèle dangereux, mes réflexions à la con. Mes excès de colère, ma culpabilité bidon, ma sexualité en vrac et mes fantasmes tordus. De hurler ma peur panique des autres, ma mesquinerie sournoise, mes regrets, mes erreurs, mes névroses, mes obsessions, mes méta-obsessions. Ma phobie de la douleur, de la perte, du suicide, de la dépression. Non j'ai braqué personne, planqué personne, butté personne. Mais j'suis un voyou c'est comme ça qu'on dit tout simplement. J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment, suffisamment pour y penser tout le temps. J'pourrais te donner un million de bonnes raisons pour qu'on m'attrape, qu'on m'casse les genoux et qu'on me cloue au pilori. Et si un jour on vient me chercher j'résisterai pas, j'sortirai les mains sur la tête sans faire d'ennuis. Mais avant que ça arrive j'voudrais que tu saches que j'ai compris que j'passe mes nuits entre cacheton et insomnie. Et que j'vais me battre pour reconstruire un apprenti et repenti et tant pis si ça m'prend toute une vie.
Butt!
Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence, la dernière fois que j'ferme les yeux, mon dernier silence. J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances, ça m’apparait maintenant comme une évidence, finit d'être une photocopie, finies la monotonie, la lobotomie. Aujourd'hui je mettrai ni ma chemise ni ma cravate, j'irai pas jusqu'au travail, je donnerais pas la patte. Adieu les employés de bureau et leur vie bien rangée, si tu pouvais rater la tienne ça les arrangerait, ça prendrait un peu de place dans leur cerveau étriqué, ça les conforterait dans leur médiocrité. Adieu les représentants grassouillets qui boivent jamais d'eau comme si ils n'voulaient pas se mouiller, les commerciaux qui sentent l'aftershave et le cassoulet, mets de la mayonnaise sur leur malette ils se la boufferaient. Adieu, adieu les vieux comptables séniles. Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles. Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet. Adieu tous ces grands PDG, essaies d'ouvrir ton parachute doré quand tu te fais défenestrer, ils font leur beurre sur des salariés désespérés et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer. Tous ces fils de quelqu'un, ces fils d'une pute snob qui partagent les trois quarts des richesses du globe. Adieu ces petits patrons, ces beaufs embourgeoisés qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été. Adieu les ouvriers, ces produits périmés, c'est la loi du marché mon pote, t'es bon qu'à te faire virer ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse qui se fera sauter par un pompier qui va finir coiffeuse. Adieu la campagne et ses familles crasseuses, proche du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse, toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles, ces vieux radins et leurs économies de bouts de chandelle. Adieu cette France profonde, profondément stupide, cupide, inutile, putride, c'est fini vous êtes en retard d'un siècle, plus personne n'a besoin de vos bandes d’incestes. Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale qu'essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent, tous ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode. Ces parisiens, jamais content, médisants, faussement cultivés, à peine intelligent, ces répliquants qui pensent avoir le monopole du bon goût qui regardent la province d'un oeil méprisant. Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant leur seul but dans la vie c'est la troisième mi-temps, accueillant, soit disant, pff, ils te baisent avec le sourire, tu peux le voir à leur façon de conduire. Adieu, adieu ces nouveaux fascistes qui justifient leur vie de merde par des idéaux racistes, devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion, au lieu de jouer les SS, trouve une occupation. Adieu les piranhas dans leur banlieue, qui voient pas plus loin qu'le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux qui n'sont agressif une fois qu'ils sont à 12, seuls ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouce. Adieu les jeunes moyen les pires de tous ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse. Adieu les fils de bourges qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire, donne leur l'Eden ils t'en font un Enfer. Adieu tous ces profs dépressifs, t'as raté ta propre vie comment tu comptes élever mes fils? Adieu les grevistes et leur CGT qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés, qui fouettent la défaite du survét' au visage transforme n'importe quelle manif' en fête au village. Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages. Adieu la ménagère devant son écran prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents, qui pose pas de question tant qu'elle consomme, qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme. Adieu, ces associations bien-pensante, ces dictateurs de la bonne conscience, bien content qu'on leur fasse du tort c'est à celui qui condamnera le plus fort. Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister. Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité, danser sur des chariots ? C'est ça votre fierté ? Les bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne, tellement, tellement susceptible, pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types. Adieu ma nation, tous ces incapables dans les administrations, ces rois de l’inaction avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir. Béééh, tous ces moutons pathétiques, change une fonction dans leur logiciel ils se mettent au chômage technique, à peu près le même Q.I. que ces saletés de flics qui savent pas construire une phrase en dehors de leurs sales répliques. Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps, tout le système est complètement incompétent. Adieu les sectes, adieu les religieux, ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux. Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux qui préfèrent se faire enculer par la Française des Jeux. Adieu les banquiers verreux, le monde leur appartient. Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main. J'comprends que j'ai rien à faire ici quand j'branche la 1. Adieu la France de Joséphine Ange-gardien. Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien. Adieu les SM libertins et tous ces gens malsains. Adieu ces pseudos artistes engagés. Plein de banalités démagogues dans la trachée, écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier, essaies d'écrire des bonnes paroles avant d'la prêcher. Adieu les p'tits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé, adieu les sans papiers, les clochards tous ces tas de déchets, j'les hais, les sportifs, les hooligans dans les stades, les citadins, les bouseux dans leur étables, les marginaux, les gens respectables, les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables, de la plus grande crapule à la médaille du mérite, de la première dame au dernier trav' du pays...

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MessageSujet: Re: wxcvbnqsdfghjklm   wxcvbnqsdfghjklm EmptyMar 5 Nov - 19:47



X et Kyrah
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<div style="width: 350px; text-align: justify; font-family: cambria; font-size: 11pt; line-height: 11px; color: #666666;font-style: italic "><img class="avatar2" align="left" src="https://24.media.tumblr.com/08bdef2a8d7eb0b6417534bf02058ceb/tumblr_mysp1aHlBC1sfgfh0o1_500.png" style="padding: 3px; "><br>texte ici.</div></center>
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